L’Ancre de la Miséricorde

Pierre Mac Orlan

Brest, XVIIIe siècle, le petit Morgat rêve d’aventure. Ce gamin est prêt à faire le grand saut dans ce qu’on appelle la vie. Il y est encouragé par un bagnard qui a réussi à le persuader de son innocence et du fait que la seule vocation digne d’un cœur libre a pour nom « évasion »... Il n’en faut pas plus pour pousser le jeune garçon dans la grande valse des masques.
Morgat va apprendre la double réalité du monde. Rêve et réalité vont s’affronter… « Si l’aventure est une garce séduisante, il arrive que ses galants finissent au bout d’une corde... ».

Ce roman est un concentré d’aventure, une épopée clandestine, un reflet révélateur de « l’île au trésor », où le verbe devient un océan épique pour l’aventurier passif.